Revenge of the Titans Plate-forme : PC Date de sortie : 01 Juillet 2011 Iceberg lance un nouveau jeu de tower defense sur PC. Signé Puppy Games, Revenge of the Titans prend place dans le même univers que les jeux Titan Attacks, Droid Assault et Ultratron. A l'instar de la série BIT.TRIP sur WiiWare, chaque titre bénéfice d'un concept différent. Le jeu prend ici la forme d'un titre de stratégie, plus exactement ce que l'on nomme un tower defense. Le concept est donc de placer des tours de défense sur les cartes du jeu, afin de repousser les ennemis, des vilains aliens (les Titans). On pourra compter sur des attaques spéciales, et le titre demeure globalement assez difficile. La campagne comporte une cinquantaine de niveaux prenant place sur la Terre, la Lune, Mars, Saturne, et Titan (un des satellites de Jupiter). Au gré de la progression, on débloquera de nombreux bâtiments (29 au total, et 40 technologies de recherche) et des éléments permettant d'extraire plus rapidement les ressources, ou de mieux connaître les actions de l'ennemi. Sur le plan technique, Revenge of the Tians s'en sort relativement bien avec un graphisme rétro très soigné, et offrant une bonne lisibilité de l'action. Le gameplay est efficace, mais la prise en main nous laisse un peu dans l'expectative en début de partie, car vous disposez de peu d'argent, et il va falloir faire avec. Cela obligera à être stratégique. Si vous dépensez trop d'emblée, c'est prendre un risque sur l'avenir, si trop de tours venaient à être détruite. Dépensez peu, c'est au contraire laisser les portes de votre base grandes ouvertes. Le titre offre une durée de vie relativement longue, et une ambiance sonore plutôt séduisante. Après un tutoriel et une campagne scénarisée, on retrouve un mode sans fin (assez pacifique) et une option survie (au contraire beaucoup plus délicate). A noter que le titre est resté intégralement en anglais pour le moment. VERDICT-Revenge of the Titans est un tower defense très sympathique à jouer, mais qui se montre aussi particulièrement retors. Un titre à réserver aux férus du genre. |