World War Wolves tome 2 : Autrefois un homme, aujourd'hui un loup Plate-forme : Bande Dessinée Date de sortie : 27 Avril 2016 Editeur : Développeur : Genre : Bande dessinée Multijoueur : Non Jouable via Internet : Non Test par Nic0077.5/10 Scénario : Jean-Luc Istin Une grande partie de la population américaine a été frappée par une maladie dont on ignore la cause. Cette fois, les personnes contaminées ne se sont pas transformées en zombies mais en lycanthropes, c'est à dire des loup-garous. Les survivants fuient les villes infestées et se sont regroupés en communautés. En parallèle, les loups-garous ont décidé de fonder leur nation et de traquer les hommes. A Las Cruces, le romancier John Marshall entend protéger sa fille, et enquête sur le loup-garou qui a massacré ses voisins. A Philadelphie, Jeremy Lester, un joueur de blues aveugle, cherche quant à lui à sauver la jeune Sarah, dont le père est devenu un loup. Pendant ce temps à Riker Island, les prisonniers humains côtoient les loups, et la tension est ainsi permanente. Malcom Spolding a failli plus d'une fois être dévoré par la meute, mais sa débrouillardise la sauver d'un mauvais pas et il prépare avec attention sa future évasion. Une chose est sure, cela va faire du bruit. Dire que World War Wolves ressemble à The Walking Dead est une certitude. Le loup-garou a remplacé le zombie, et l'ennemi est beaucoup plus intelligent que les morts-vivants. Mais le postulat est le même et au fil des pages, le nombre de survivants décroit considérablement. L'album présente un format proche du comics, et le dessin de Kyko Duarte reprend un style semi-réaliste très agréable. Côté scénario, l'intrigue de Jean-Luc Istin fait son office, et plusieurs témoignages, ainsi que des articles de presse, laissent entrevoir des indices sur l'origine de la catastrophe. VERDICT-World War Wolves ressemble beaucoup à The Walking Dead au niveau de la forme, mais l'intrigue prend rapidement une direction inattendue, l'ennemi étant ici pleinement conscient et très organisé. Ce comics constitue une bonne lecture, même s'il manque un peu d'originalité. |