Yamato Akitsuki quitte sa campagne natale pour entrer dans un lycée à Tokyo. Désirant répéré les lieux, il se rend sur place afin de connaître l'endroit où il étudiera durant les trois prochaines années. C'est alors qu'il aperçoit Suzuka, en train de s’entraîner au saut en hauteur et est immédiatement séduit par son charme. Mais il est à présent temps de rentrer chez sa Tante, propriétaire d'un bain public, et également sa logeuse. Il va devoir alors retrousser ses manches afin de nettoyer tout de A à Z, avant que les clientes n'arrivent. Les clientes, parce que sa tante est également propriétaire d'une résidence pour jeunes filles. Un adolescent lâché seul dans un pareil milieu, sur qu'il peut se passer des choses, au grand désespoir de sa cousine Miho. En effet, deux locataires ne tardent pas à rencontrer Yamato et les premiers ennuies vont commencer. On y dénombre Saotomé, une jeune femme assez légère (et toujours en petite tenue), ainsi que Megumi, une fille plus réservée mais qui est toujours obnubilé par sa poitrine. Quoiqu'il en soit, la situation va vite lui échapper, et c'est dans une position pour le moins surprenante, qu'il va revoir Suzuka, elle aussi locataire de l'établissement.

Bref, le début de Suzuka rappelle une autre série éditée par Pika, Love Hina, à l'exception que les premiers instants du manga sont beaucoup plus suggestifs que dans l'oeuvre de Ken Akamatsu, et que le dessin est beaucoup plus sexy. Cependant n'allons pas croire que Suzuka tombe dans le lourd ou le graveleux. Non, les situations rocambolesques sont toujours ammenées avec humour, et le récit évolue assez vite pour se concentrer sur l' histoire d'amour (hypothétique) entre Yamato et Suzuka. Cette dernière passe par plusieurs stades durant le premier tome de ce manga, mais au final, elle commence à le trouver pas si mauvais que ça ...