Comme dans les jeux de type "endless runner", #DRIVE est, eh bien, sans fin... Chaque étape progresse tant que vous êtes capable de ne pas perdre, soit en vous écrasant, soit en tombant en panne d'essence, soit en endommageant tellement la voiture qu'un scooter serait plus efficace. Évidemment, nous n'avons pas d'histoire ou de personnages réels, mais la personnalité du "protagoniste" (c'est-à-dire la voiture) est assez amusante et avant-gardiste. Le but est juste de conduire, comme le dit le synopsis lui-même. Essayez de battre vos records et de visiter de nouveaux endroits avec de nouvelles voitures. Si vous aimez vraiment cela, le jeu comprend un "mode Zen", dans lequel vous ne vous préoccupez de rien d'autre que de vous et de l'asphalte. En mode normal, vous devez toujours vous soucier de faire le plein du réservoir, d'économiser le pot-de-vin de la police et d'apprendre quels objets vous pouvez toucher. Dans #DRIVE, il y a deux motivations principales pour continuer à jouer : Découvrir les nouveaux scénarios, qui sont des villes du monde entier, qui sont vraiment magnifiques. L'une plus charmante que l'autre, avec chaque élément de base stylisé selon le thème. On peut même jouer sur Mars, avec un design super futuriste, ou dans le désert américain, en esquivant les nuages de poussière (une voiture rouge dans le désert ne vous rappelle rien ?). L'autre motivation est de collectionner les voitures. Le garage est assez vaste, et vous pouvez rendre votre voiture "cool" en ajoutant des ailes, des torches, etc., chacun à sa manière. Bien sûr, chaque véhicule se comporte différemment, a une taille différente, etc. Chacun finit par être très unique pour cela.

Les chansons sont très agréable à écouter, confortables à avoir en fond sonore en jouant. Elles se marient très bien avec les graphismes (qui sont encore une fois magnifiques, avec un style cartoon aux contours épais qui donne l'impression que tout est bien fait t une belle palette de couleurs(simple, sans être simpliste). D'autre part, le gameplay n'est pas si agréable que ça. C'est plus difficile que la conduite réelle, et cela ne rappelle pas les jeux de course classiques. Nous avons une physique très similaire à la réalité, mais la différence est que notre "espace de mouvement" est de 1 cm sur le stick analogique, au lieu de plus de 3 mètres en réalité. Ainsi, cette différence d'échelle rend tout absurdement sensible, ce qui nous a honnêtement enlevé la sensation de conduire réellement, ce qui semblait être le but. A noter que cette édition physique est limitée à 2900 exemplaires. Elle comporte le jeu sur cartouche accompagné d'un désodorisant (!).