Réalisé par Nimrod Antal.
Royce, un mercenaire, se retrouve obligé de mener un groupe de combattants d’élite sur une planète étrangère. Ils vont vite comprendre qu’ils ont été rassemblés pour servir de gibier. A une exception près, tous sont des tueurs implacables – des mercenaires, des yakuzas, des condamnés, des membres d’escadrons de la mort ; des « prédateurs » humains qui sont à présent systématiquement traqués et éliminés par une nouvelle génération de Predators extraterrestres. Voici l’affrontement sans pitié de tueurs absolus...
Sorti en 1987, Predator est sans aucun doute un des meilleurs films d'Arnold Schwarznegger et un très bon film d'action. L'ambiance y était excellente, et l'intrigue, bien qu'assez mince, y étaitt très bien mise en scène. Cette nouvelle déclinaison de Predators était donc fortement attendu. Il ne s'agit pas vraiment d'une suite ni même d'un remake, mais d'une production qui essaye de mélanger les deux. Ainsi, à plusieurs reprises, on nous fera mention du premier opus de la franchise (d'où l'idée qu'il s'agirait d'une suite), mais cette production comporte tellement de scènes déjà vues dans l'original (la cracheuse, la musique, le décor, etc), qu'il est difficile de penser qu'il ne s'agit que de simples clins d'oeils (d'où la part de remake). Néanmoins, Predators apporte toutefois quelques nouveautés, et les amateurs d'action risquent d'apprécier, car il faut avouer que la réalisation s'avère très dynamique et le casting plutôt efficace (Adrian Brody, Laurence Fishburne, etc) ...
VERDICT
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Predators n'égale nullement le talent de son ainé, mais dans l'ensemble, il se positionne comme un divertissement tout à fait efficace, et à la réalisation plutôt léchée.