The Kingdoms of Ruin (Hametsu no Oukoku) est un manga toujours en cours de parution au Japon et qui a connu sept tomes à ce jour aux éditions Mag Garden. L'humanité a longtemps vécu en harmonie avec les sorcières, mais une révolution scientifique avancée a rendu les pouvoirs d'une sorcière inutiles. Succombant au ressentiment et à la peur, la plus grande nation du monde entame une chasse aux sorcières brutale et élimine toutes les sorcières du pays. Après avoir été forcé de regarder son professeur bien-aimé mourir, Adonis, un apprenti sorcier, jure de se venger de l'empire qui lui a tout pris. C'est une bataille sanglante entre la science et la magie dans cette nouvelle série manga palpitante !

L'empire lydien domine le monde et a banni toute magie. Les rares sorcières sont impitoyablement pourchassées et assassinées, et tous ceux qui ne font que montrer des approches sont emprisonnés. Mais certaines femmes expertes en magie ont survécu et se sont retirées sur la lune. C'est là qu'elles font venir Adonis, un jeune homme qui a été l'apprenti d'une grande sorcière. Mais il fait maintenant échouer leur plan pour ramener sa maîtresse, car il veut suivre sa propre voie pour se venger des hommes. La saga parvient tout de même à surprendre, car l'intrigue ne se déroule pas comme on l'attendait. Certes, le chemin semble tout tracé, mais il ne se déroule pas comme les sorcières le souhaitent et le planifient, car Adonis n'en fait qu'à sa tête. Le jeune homme leur joue des tours à plusieurs reprises et devient ainsi un danger. Il semblerait même qu'il veuille précipiter la chute du refuge, car le pire arrive lorsque les humains découvrent le lieu sur la lune. Une fois de plus, les combats et les meurtres se font à la dure. L'histoire est dure et cruelle en ce qui concerne l'action, toutefois on s'y perd un peu. En effet, le contexte est toujours un peu flou pour asseoir la personnalité des forces en présence.  Dans l'ensemble, le troisième tome laisse l'impression qu'il s'agit uniquement de massacre et de vengeance, mais en réalité, il y a beaucoup plus derrière.