Kakushigoto est une série qui a connu un total de douze tomes au Japon aux éditions Kodansha. Le personnage principal, Goto Kakushi, est un mangaka. En entendant cela, vous pourriez penser qu'il s'agit de la vie romancée de Kouji Kumeta. Dans le volume 1, Kumeta le nie pourtant officiellement. Bref, Goto Kakushi a une fille nommée Hime et sa mère n'est jamais présentée. Il a caché son travail à sa fille, sans doute car il dessine un manga un peu vulgaire. "Kakushigoto" signifie d'ailleurs secret en japonais. Pourquoi cache-t-il tout à sa fille ? Aurait-il honte des ouvrages bas de gamme qu'il a signé par le passé ? En fait, Goto n'assume pas du tout son métier et va jusqu'à s'inventer une double vie où il serait un modeste employé de bureau. Mais excepté Hime, tout le monde (les amis, la famille, l'administration, etc) est au courant de ses activités. Ce manga traite principalement de la relation entre les artistes manga et le public. Cela décrit indirectement le public japonais et leur sens de la valeur, en d'autres termes. N'ayez pas peur, il y a beaucoup de gags, pas seulement des scènes sérieuses. L'auteur ne vous laissera pas au milieu de nulle part. Vous pouvez vous rapprocher petit à petit du centre du mystère à mesure que la jeune Hime découvre la profession de son père.

Goto-sensei et son équipe soupçonnent un lien avec une organisation antisociale en raison du comportement suspect du rédacteur en chef, Jumaruin. Afin d'éviter l'arrêt de la série, ils se lancent à la poursuite de Jumaruin, mais... !?Le onzième volume de cette série burlesque est plein de dangers !?Et l'Arc du lycée d'Hime-chan, qui décrit la quête d'Hime-chan des " choses cachées " de Goto-sensei huit ans après l'histoire principale, est à nouveau illustré par huit pages en couleur !?L'amnésique Goto-sensei pourra-t-il un jour redevenir normal ? L'histoire se développe d'une manière qui augmente l'anticipation du type de fin qu'elle aura. L'assistant Rasago-chan est déjà devenu un artiste à part entière. Kakushigoto reste essentiellement une "comédie", mais les "différences" affectueuses entre Hime et son père, Goto Kakushi, ainsi que la douloureuse réalité du dessin de manga, réchauffent le cœur. Pour une raison quelconque, il y a beaucoup de sujets dans ce volume. Ce n'est pas une caractéristique commune dans les œuvres de Kumeida jusqu'à présent. A présent, les secrets de Kakushi-sensei ( "travail de dessin", "enfants illégitimes" et "abandon de la femme) ont été révélés au grand jour. Pourquoi est-ce "inévitable" que le nom d'Hime-chan ait un mauvais nombre de traits ? Pourquoi ne l'appelle-t-elle que "papa", alors que la liste des tâches à accomplir chez Kamakura est "papa", "maman" et "hime" ? Pourquoi est-il "plus difficile de changer un prénom qu'un nom de famille" ? Qu'est-ce que la lettre de la famille de papa adressée à la princesse Goto, etc. ? En fait, le "secret" de Hime semble beaucoup plus sombre.