L'humanité n'est plus. A la suite d'un cataclysme, la Terre est devenu un monde hostile à l'homme : l'air est irrespirable et de mystérieuse créatures les wendigos chassent les derniers humains. C'est dans cet environnement qui ne semblent pas l'affecter que vit Junk, un jeune garçon plein de vie. Il a pour seul compagnie Crappy un raton laveur bleu capable de parler. C'est alors qu'un jour, ils rencontrent un groupe de survivants, un escadron de combattants doué de capacité surhumaine et qu'on appelle les Ripper !

Alors que Junk et Crappy se dirigent vers le Bosquet en compagnie de Billie, ils décident de faire demi-tour pour venir en aide des membres de la tribu du chêne. Junk fait alors face à une imposante silhouette, celle de Borthos de la tribu de l’aulne, un des six grands chefs de tribu du Bosquet. S’ensuit un combat épique qui se soldera par le retour de tout ce petit monde au dernier refuge de l’humanité. Tandis que Lance voit en Junk une lueur d’espoir, d’autres le prennent pour un wendigo mais c’est au Patriarche lui-même qu’il revient de décider du sort de notre mystérieux protagoniste … Tout s’enchaîne avec le tome précédent, nous démarrons directement sur le combat entre Junk et Borthos. Et comme pour le premier volume, Jero se lâche sur les effets dans ses scènes de combat, ce qui donne au tout un bon dynamisme mais peut parfois rendre l’action difficile à suivre. Le rythme redescend avec la découverte du Bosquet et de son fonctionnement. On découvre la hiérarchie qui régit le dernier refuge de l’humanité à travers les différentes tribus et le patriarche, ce qui contribue à tisser un univers cohérent pour Ripper !